Inculpé pour des malversations, le candidat de l’opposition reste le favori de la présidentielle de mardi. Il jouit de la permissivité coréenne. Disons que ce sont aussi des Everest en matière de diplomatie. Prenez le sommet des Nations unies sur les océans qui démarre à Nice le 9 juin. C’est le troisième du genre et c’est bien que la France, deuxième puissance maritime au monde, cherche à obtenir des promesses qui soient respectées.
Pas uniquement des États mais aussi des acteurs économiques, afin que nos océans, les espèces qui y vivent et les richesses enfouies dans leurs sous-sols soient épargnés des ravages des croisés de la prospérité à courte vue. Les écologistes disent qu’il y a urgence, les gouvernants qu’il faut transiger, les entreprises maritimes ou prospectrices qu’il faut bien s’adapter. Et les générations à venir ? Y pense-t‑on sincèrement ?