Que se passe-t-il dans les coulisses de l’actualité ? « Marianne » laisse traîner ses oreilles… Au menu également cette semaine : le désarroi des parlementaires de Gabriel Attal, et le curieux passage de flambeau de Martine Aubry.
Attal, gauche ou droite ?
Dans un groupe Renaissance encore carbonisé par la dissolution, composé de députés jouant pour la plupart leurs cartes personnelles en vue de 2027 et voués à l’oisiveté faute de travail législatif, les parlementaires ne savent plus à quel saint se vouer. Et pour certains, encore moins à leur patron, le président de groupe Gabriel Attal. L’un d’eux se lâche même: « Ce qu’il y a de bien, c’est que Gabriel pourra à la fois se présenter à la primaire de la droite mais aussi à celle de la gauche pour la prochaine présidentielle. » Cette même source refuse d’ailleurs de se prononcer pour l’instant. « Il est encore trop tôt pour savoir quel sera le meilleur cours de la bourse. » Visiblement, les idées passent dans un second temps. M.J.