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L’Irak ne pourra plus acheter d’électricité iranienne, décide l’administration Trump

mars 9, 2025
in @La Tribune, Économie
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Donald Trump : tout et son contraire
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Le président des Etats-Unis, Donald Trump, met à exécution sa campagne de  « pression maximale » sur Téhéran. En effet, Washington « n’a pas renouvelé » une dérogation accordée à l’Irak depuis 2018 permettant à Bagdad d’importer de l’électricité de l’Iran voisin malgré les sanctions américaines, a confirmé dimanche une porte-parole de l’ambassade des Etats-Unis dans la capitale irakienne.

«Le 8 mars, le département d’Etat américain n’a pas renouvelé la dérogation accordée à l’Irak pour l’achat d’électricité iranienne», a indiqué la porte-parole, ajoutant que la décision «garantit que l’Iran ne bénéficie d’aucun degré de soulagement économique ou financier».

Et d’ajouter que la stratégie de Donald Trump contre l’Iran visait à « mettre fin à sa menace nucléaire, à réduire son programme de missiles balistiques et à l’empêcher de soutenir des groupes terroristes ».

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Dans le détail, le National Defense Authorization Act (NDAA, le budget de la défense américaine) de 2011 avait mis en place des sanctions contre la Banque centrale d’Iran, avec toutefois des « exceptions » pour les pays ayant considérablement réduit leurs achats de pétrole brut iranien ou dans les cas où il existait un intérêt de sécurité nationale américain prédominant.

L’Irak, qui dépendait de Téhéran en matière énergétique, bénéficiait de cette dérogation depuis plus d’une décennie, y compris sous la première administration Trump.

« Isoler l’Iran de l’économie mondiale »

Mais dès son retour au pouvoir en janvier, le locataire de la Maison-Blanche a affirmé son souhait de rétablir une « pression maximale » sur l’Iran. Au cours de son premier mandat, il avait déjà retiré les États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, une convention multinationale visant à empêcher le pays d’Asie occidentale de développer des armes atomiques.

Il y a quelques jours, le gouvernement américain a déclaré qu’il souhaitait isoler l’Iran de l’économie mondiale et éliminer ses revenus d’exportation de pétrole afin de ralentir le développement par Téhéran d’une arme nucléaire. De son côté, Téhéran nie cependant vouloir se doter d’armes nucléaires et affirme que son programme est pacifique.

Vendredi, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a affirmé lors d’une conférence de presse avec son homologue russe que la position de Téhéran sur les négociations nucléaires restait inchangée. « Nous ne négocierons pas sous la pression, les menaces ou les sanctions », a-t-il insisté, excluant des pourparlers directs avec les États-Unis tant que la campagne de pression maximale se poursuivra.

Deux jours plus tôt, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmail Baghaei, avait qualifié les récents propos du secrétaire américain au Trésor sur la poursuite de la stratégie de pression maximale de preuve de l’hostilité persistante de Washington envers le peuple iranien, rapporte le Tehran Times. Il avait qualifié cette politique de violation flagrante du droit international et de crime contre l’humanité.

L’Irak « travaille sur des alternatives »

Pour l’Irak, la fin de la dérogation sur l’achat d’électricité « présente des défis opérationnels temporaires », a déclaré Farhad Alaaeldin, conseiller aux affaires étrangères du Premier ministre Mohammed Shia al-Sudani.

« Le gouvernement travaille activement sur des alternatives pour maintenir l’approvisionnement en électricité et atténuer les éventuelles perturbations », a déclaré Mohammed Alaaeldin à Reuters.

« Le renforcement de la sécurité énergétique reste une priorité nationale, et les efforts visant à accroître la production nationale, à améliorer l’efficacité du réseau et à investir dans de nouvelles technologies se poursuivront à un rythme soutenu », a-t-il ajouté.

(avec agences)

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