Les joueurs parisiens ont profité d’une journée de repos ce mardi pour souffler. Un choix pour permettre aux joueurs de s’aérer l’esprit et se reposer, après une saison longue et réussie.
Du travail, de la rigueur, mais aussi de la détente. Ce mardi, c’était journée de repos complète pour les joueurs du PSG, deux jours avant d’affronter Botafogo, vendredi (3h). La première depuis leur arrivée aux Etats-Unis pour disputer la Coupe du monde des clubs. Une partie de l’équipe s’est rendue à Disneyland, des membres du staff ont profité d’une promenade sur la plage de Santa Monica… avant de retrouver le terrain ce mercredi.
Une volonté du staff et de la direction
Depuis leur arrivée à Los Angeles il y a une semaine, les Parisiens alternent entre entraînements et moments libres, où ils peuvent faire ce que bon leur semble. Une décision prise par Luis Enrique et son staff en accord avec la direction parisienne, après une saison très longue et exceptionnelle pour le PSG. Dans ce contexte, alors que le groupe a commencé la préparation de cet exercice en… juillet 2024, pas question d’enfermer les joueurs dans leur hôtel de Newport Beach alors qu’ils peuvent profiter d’un cadre exceptionnel après avoir été champions d’Europe.
Les consignes sont limpides: les joueurs doivent partager le petit déjeuner et se retrouver à 8h30 à leur hôtel, puis enchaîner ensemble avec l’entraînement en fin de matinée. Ensuite, l’après-midi, c’est quartier libre. Aucune obligation, même, de dîner ou dormir à Newport Beach tant que le rendez-vous du matin est honoré.
Beverly Hills, golf et familles
Certains dont Désiré Doué et Warre, Zaïre-Emery ont par exemple découvert le chic quartier de Beverly Hills, d’autres se sont promenés sur la plage ou partagé des parties mini-golf, auxquelles participent par exemple Nuno Mendes, Lucas Beraldo, Vitinha ou Gonçalo Ramos. Il y a aussi ceux qui font les magasins. Marquinhos de son côté prend du temps avec sa famille, qui s’est déplacée sur la côte Ouest, tout comme Khvicha Kvaratskhelia avec sa compagne. Toujours dans l’idée de se détendre, profiter et ne pas s’enfermer et mieux performer dans la compétition. Mais cette liberté n’est pas sure de perdurer pendant tout ce mois de Coupe du monde des clubs, à cause notamment des déplacements plus nombreux à venir dans la deuxième partie du tournoi.