Son premier, c’est plaisir. Son deuxième, du sourire. Son troisième, nous attendrir. Et son tout nous fait des souvenirs. Naturellement, on a tous dans le cœur une de ses chansons qui nous collent encore au cœur et au corps. À 76 ans, ce mélomane traverse les générations avec toujours cette naïveté juvénile et indolente.
Pendant ces deux heures de tête-à-tête avec « Voulzon », le sujet « Souchy » débarque très rapidement au centre de notre conversation. Une collaboration fraternelle de 50 ans. Alors lorsque Pierre Souchon, l’aîné d’Alain, ressent ce vieux désir super de l’inviter à chanter ses mélodies au gala de la Fondation Recherche Alzheimer, son cœur évidemment grenadine s’incline.
LA TRIBUNE — Cette sensibilité de se tourner vers les autres a-t-elle un lien avec votre enfance peu ordinaire ?