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En 2025, il devient difficile de soutenir un artiste ou un groupe de musique, tant les prix des concerts, des albums ou encore des produits dérivés sont de plus en plus conséquents. Effectivement, les industriels de l’entertainment ne cessent de faire les poches des super-fans, prêts à se ruiner pour acquérir le dernier « merch » ou suivre la dernière tendance prônée par leur artiste fétiche.
Vu à la Fnac, le nouveau disque de la star italienne du piano mélancolique, Ludovico Einaudi. Dans sa version en double vinyle, le bel objet nous fait de l’œil. Puis on voit le prix et on trépasse (notre tour) : 42,99 €. Il s’agit du fameux « prix vert » ; dans quelques semaines, l’album coûtera… 57,04 €. On s’étrangle.