Alors qu’une soirée de soutien était organisée à Strasbourg pour la libération de Boualem Sansal, la maire écolo Jeanne Barseghian n’a pas souhaité afficher sur la façade de l’hôtel de ville le portrait de l’écrivain franco-algérien emprisonné depuis novembre 2024. Un nouveau signe qu’une partie de la gauche française manque de courage, de peur de heurter la diaspora franco-algérienne, selon un opposant au régime algérien réfugié en France.
Le 14 mars, la Licra Strasbourg organisait une soirée de soutien pour la libération de Boualem Sansal. Priée de dire pourquoi la maire écolo Jeanne Barseghian n’avait pas affiché sur la façade de l’hôtel de ville le portrait de l’écrivain engeôlé, son adjointe à la Culture a répondu : « Si cela servait à quelque chose, cela se saurait. »