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Elles forment un ensemble disparate que l’on appelle société civile. Ici, des organisations non gouvernementales qui luttent contre la corruption et les atteintes à la probité. Là, des familles de victimes de l’attentat terroriste contre l’avion de ligne DC-10 de la compagnie UTA, qui avait fait 170 morts en 1989. En théorie, elles n’ont rien en commun et pourtant le procès des financements libyens les a réunies pendant plus de deux mois sur le même banc des parties civiles, dont la journée du 24 mars a été consacrée aux plaidoiries de leurs avocat·es.