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Beaucaire (Gard) et Montpellier (Hérault).– Pour les militant·es et les sympathisant·es du Rassemblement national (RN), elle est devenue une sorte de martyre. Depuis que Marine Le Pen a été condamnée à cinq ans d’inéligibilité avec application immédiate, les éléments de langage victimaires du parti d’extrême droite, relayés en boucle dans tous les médias, ont naturellement ruisselé dans les fédérations départementales du mouvement, au détriment des faits.