https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2025/04/09/250904-img-la-france-refuse-l-extradition-du-militant-antifasciste-gino-vers-la-hongrie.jpg
13 h 50, la décision tombe : « La cour refuse la remise de l’autorité judiciaire à la Hongrie de Rexhino Abazaj. » Dans la salle de la cour d’appel de Paris, les larmes s’invitent au milieu des accolades et embrassades. Et alors que la cour lève le 9 avril le contrôle judiciaire du militant d’origine albanaise, c’est un soulagement qui parcourt la foule de camarades antifascistes de Rexhino Abazaj, dit « Gino ».