Auditionné par la police brésilienne le 16 avril, Dimitri Payet a nié avoir agressé Larissa Ferrari, 28 ans, qui a porté plainte contre le joueur de Vasco de Gama pour “violence physique et psychologique”. Au cours de son entretien, l’ancien Marseillais a confirmé la relation extraconjugale, “basée sur la pratique sadomasochiste”.
Accusé par une avocate brésilienne de lui avoir fait subir des violences physiques et psychologiques, Dimitri Payet a été auditionné au DEAM (Delegacia de Atendimento à Mulher) le 16 avril où il a confirmé la relation extraconjugale avec Larissa Ferrari, mais a nié toute agression à son encontre. Le joueur de Vasco de Gama a également donné des détails sur les pratiques sadomasochistes entre eux, comme le révèle ce vendredi le média brésilien Metropoles.
Dans sa déclaration, le Français confirme qu’il a rencontré l’avocate sur les réseaux sociaux. Dans des messages privés, l’avocate “a commencé à envoyer des vidéos intimes et à parler de sujets liés au sexe”. L’ancien joueur de l’OM a également confirmé que leur relation était “basée sur la pratique sadomasochiste” et qu’ils pratiquaient ce type d’actes virtuellement et en personne, le tout de manière “consentie”.
Robe de mariée et urine
L’ancien international français a également révélé son fétichisme et reconnu avoir des relations sexuelles avec Larissa Ferrari habillée en mariée. Il lui a donc demandé si elle avait toujours la robe qu’elle portait à son mariage. Toujours selon le joueur, l’avocate lui aurait demandé “d’uriner” sur lui “à plusieurs reprises”. En janvier 2025, Larissa Ferrari lui aurait envoyé “une vidéo dans laquelle elle buvait spontanément sa propre urine et mettait sa tête dans les toilettes”. Toujours dans sa déclaration, Payet indique que la pratique de boire de l’urine “était courante au sein du couple”.
Pour justifier les “agressions” dénoncées par l’avocate, Dimitri Payet a affirmé que l’avocate lui “a demandé de lui gifler les fesses, ce qui a laissé des traces”. Concernant les marques sur ses jambes, la joueuse a déclaré que cela était lié aux “endroits où se déroulaient des pratiques sexuelles, comme les chaises”. Comme elle “avait la peau très claire, toute pression, même légère, laissait une marque.”
Auprès de RMC Sport, Larissa Ferrari a confirmé le 11 avril que le joueur “a commis des violences psychologiques à [son] encontre, utilisant le chantage émotionnel pour obtenir un avantage sexuel”. “Je suis actuellement en traitement psychologique et psychiatrique pour faire face à cette situation. Ma vie n’est plus la même”, avait expliqué la jeune femme.