Le cas Monique Olivier : “La société a du mal à percevoir le mal au féminin. La femme est rassurante, pas prédatrice”

Marianne - News

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De « Killing Eve » à « Why Women Kill », les tueuses envahissent les séries, podcasts et documentaires. Un intérêt croissant qui va de pair avec la levée d’un tabou : celui des femmes comme auteures de crimes, et non plus uniquement comme victimes. Agnès Grossmann, journaliste qui a récemment publié un ouvrage consacré à la complice de Michel Fourniret, « Le mal au féminin : Monique Olivier » (Les Presses de la Cité) apporte son éclairage à « Marianne ».

Déjà condamnée en 2008 à la perpétuité pour sa complicité dans quatre enlèvements et meurtres commis par son mari Michel Fourniret, Monique Olivier a de nouveau écopé de la même peine en 2024 pour trois autres meurtres – dont celui d’Estelle Mouzin.

À LIRE AUSSI : Procès de Monique Olivier : “C’est une menteuse pathologique, elle se victimise en permanence”, tonne l’ex-procureur des Ardennes

Début 2025, elle a reconnu son implication dans un autre « cold case », pas encore jugé : la disparition de Lydie Logé, 29 ans, dans l’Orne en 1993. Dans son livre Le mal au féminin : Monique Olivier (Les Presses de la Cité) publié en février dernier, la journaliste Agnès Grossmann s’intéresse au cas de cette criminelle hors normes, à rebours de nombre d’idées reçues sur les femmes auteures de crimes.

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