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Buenos Aires (Argentine).– Il est bientôt dix heures et le prêtre Lorenzo de Vedia, dit père Toto, s’active à préparer la messe dans l’église Notre-Dame de Caacupé, quatre murs colorés surmontés d’un toit de tôle à l’orée d’un bidonville. Le 21 avril, dans la « Villa 21-24 », un entrelacs de ruelles en terre battue où vivent environ 80 000 habitant·es, l’émotion provoquée par la mort du pape François est particulièrement vive.