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La suite de « Sex and the City » en est déjà à sa troisième saison et on doute qu’elle ait fait grand-chose pour la condition féminine. En revanche, son arrogance de classe bat des records.
En 1998, la série « Sex and the City » réalisait le casse de la fin de siècle en faisant passer les péripéties de quatre bourgeoises de l’Upper East Side new-yorkais pour un manifeste féministe. Vingt-sept ans après, sa suite, « And Just Like That », attaque sa troisième saison et l’imposture à la vie dure. Diffusée sur la plateforme Max, elle met toujours en scène Carrie (Sarah Jessica Parker), Miranda (Cynthia Nixon) et Charlotte (Kristin Davis), la quatrième actrice, Kim Cattrall (alias Samantha), s’étant brouillée avec ses collègues.