Le Real Madrid officialise ce dimanche l’arrivée sur son banc de Xabi Alonso. L’ancien milieu de terrain espagnol va remplacer Carlo Ancelotti comme entraîneur du club merengue.
Un nouveau patron pour la Maison blanche. Le Real Madrid officialise l’arrivée de Xabi Alonso sur son banc, il succède à Carlo Ancelotti. L’ancien milieu de terrain espagnol va remplacer son illustre prédécesseur comme entraîneur du club merengue. “Xabi Alonso sera l’entraîneur du Real Madrid pour les trois prochaines saisons, du 1er juin 2025 au 30 juin 2028”, écrit le Real dans un communiqué. L’ancien milieu de la Roja sera donc bien sur le banc madrilène lors de la Coupe du monde des clubs, mi-juin.
C’était un secret de polichinelle depuis plusieurs semaines, Xabi Alonso allait devenir le prochain entraîneur du club merengue, cela ne faisait plus aucun doute, même si Carlo Ancelotti se refusait à désigner son successeur, jusqu’à vendredi. Libéré du poids de son propre départ, le technicien italien avait vendu la mèche adoubant l’Espagnol auquel il a reconnu “les qualités requises” pour le poste.
Sa mission? Ramener le Real vers les sommets
Après deux saisons et demie à la tête du Bayer Leverkusen, qui lui auront notamment permis d’opérer un redressement spectaculaire avec ce titre de champion, le premier de l’histoire du club, au bout d’une saison 2023-2024 que le club aura fini invaincu, avec en prime la Coupe d’Allemagne, Xabi Alonso retrouve un club avec lequel il a gagné la Ligue des champions en 2014.
A 43 ans, l’ex-milieu de terrain et stratège de Liverpool (2004-2009), du Real (2009-2014) et du Bayern Munich (2014-2017), champion du monde (2010) et double champion d’Europe (2008, 2012) avec la sélection espagnole, revient à Madrid, où il avait également fait ses gammes comme entraîneur chez les jeunes quelques mois seulement après la fin de sa carrière de joueur, en 2018.
Sa première mission, Xabi Alonso la connaît déjà, et elle sera la sienne chaque année désormais: ramener et stabiliser le Roi d’Europe (15 Ligue des champions) où il se doit d’être: au sommet. Quant à Carlo Ancelotti, qui a payé le prix d’une saison proche du fiasco, sans trophée majeur, hormis une Supercoupe d’Europe et une Coupe intercontinentale, il va prendre la tête de la sélection brésilienne.