https://s.france24.com/media/display/e2ad9650-2026-11f0-abc5-005056a90284/w:1024/p:16x9/FR%20NW%20PKG%20F24%20FOCUS%20SYRIE%20JIHADISTES%20CAMP%20AL%20ROJ.transfer_frame_8894.jpeg
Six ans après la chute du califat autoproclamé de l’organisation État islamique, des milliers de femmes et d’enfants restent détenus dans les camps du nord-est de la Syrie. Sous la responsabilité des Kurdes depuis 2019, ces détenus perçus comme affiliés à l’EI dépendent d’une autorité non-étatique incapable de les juger ou de les extrader. Les camps échappent à la protection des lois humanitaires internationales, mais cette situation en suspens pourrait changer avec la chute du régime Assad.