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Depuis l’arrivée de Trump, la Bourse américaine a perdu plus de 10 %

mars 14, 2025
in @La Tribune, Économie
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Depuis l’arrivée de Trump, la Bourse américaine a perdu plus de 10 %
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La Tribune - Economy

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Wall Street n’apprécie pas le début du mandat de Donald Trump. Alors que les premières semaines se sont bien passées, puisque le S&P 500 et le Nasdaq 100 (l’indice technologique) ont augmenté de 1 % et 4 % entre le 20 janvier et le 20 février, la lune de miel s’est brusquement terminée. Depuis le 20 février, le S&P 500 a chuté de 10,13 % quand le Nasdaq a dévissé de 12,56 %. Une véritable correction par rapport à 2024 où  le S&P affichait une hausse de 26 % sur l’année et de 35 % pour le Nasdaq.

Des chutes brutales, encore plus marquées sur les anciennes stars de la Bourse, les « Sept magnifiques ». Ainsi, entre le 20 février et ce vendredi, Microsoft a perdu 9 % quand Apple a dévissé de 14,7 %, Amazon de 13 %, Nvidia de 17 % et Tesla de 32 %.

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À l’origine de ces dégringolades : les « menaces sur les droits de douane, l’incertitude entourant les représailles, (et), en conséquence, la possibilité d’une récession », résume auprès de l’AFP Sam Stovall, analyste chez CFRA.

Trump sème le trouble sur l’économie mondiale

Depuis son retour au pouvoir en janvier, le président américain a lancé toute une série d’offensives commerciales contre ses alliés comme ses concurrents, affirmant que les États-Unis étaient injustement traités dans les échanges internationaux. Dernier rebondissement en date, jeudi, le président américain a menacé la France et l’Union européenne (UE) d’imposer des droits de douane de 200 % sur leurs champagnes, vins et autres alcools si les tarifs douaniers de 50 % annoncés par Bruxelles sur le whisky américain n’étaient pas abandonnés.

L’UE a annoncé mercredi des droits de douane sur plusieurs produits américains, dont le bourbon, les motos ou les bateaux, en représailles aux surtaxes américaines de 25 % entrées en vigueur le même jour sur l’acier et l’aluminium. Ils devraient devenir effectifs le 1er avril, une journée avant les droits de douane dits « réciproques » voulus par Donald Trump.

La place américaine navigue à vue depuis plusieurs semaines, au gré des annonces et des rebondissements sur les taxes douanières.« Le problème est que nous ne savons pas exactement jusqu’où cela va aller », avance Sam Stovall. « Avec la montée des tensions commerciales et l’incertitude qui pèse sur le climat des affaires, le risque d’une perturbation économique plus importante se profile des deux côtés de l’Atlantique. », s’inquiète John Plassard, spécialiste en investissement chez Mirabaud & Cie, dans une note.

L’inflation rassure… mais pas assez

« Le marché aurait pu pousser un soupir de soulagement aujourd’hui en ce qui concerne les chiffres de l’inflation » observe encore Sam Stovall. Et pour cause, l’indice des prix à la production aux États-Unis (PPI), qui mesure l’inflation côté producteurs n’a affiché aucune progression, après une hausse de 0,6 % en janvier. Mais les analystes l’attendaient, non pas à l’arrêt, mais en ralentissement à 0,3 %, selon le consensus publié par MarketWatch. Ils auraient pu aussi retrouver le sourire grâce aux chiffres d’inflation publiés mercredi (indice CPI) qui ont été meilleurs qu’attendu. Mais il « continue à se concentrer sur la croissance, qui dépendra des droits de douane », conclut l’analyste de CRFA.

Reste que tout n’est pas perdu pour la Bourse. Une lueur d’espoir semble même renaître. « Nous sommes à des niveaux très survendus », affirme John Plassard. Avant d’ajouter qu’une « confirmation à la hausse ces prochains jours pourrait être le signal d’un rebond à court terme. »

L’or et les obligations au plus haut

Les autres marchés financiers bougent aussi beaucoup… et souvent en sens inverse de la Bourse américaine. Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’État américains à dix ans s’affiche à 4,33 % ce vendredi, loin des 3,6 % de septembre dernier.

Quant à l’or, il s’établit à 2 984 dollars l’once ce vendredi, en hausse de 12 % par rapport au 1er janvier. Les analystes de Macquarie prévoient que l’or atteindra en moyenne 3 150 dollars l’once au troisième trimestre, avec une forte hausse due aux investisseurs qui cherchent à se protéger des risques d’inflation. « Et ils ne sont pas les seuls : Goldman Sachs vise désormais 3 100 dollars l’once d’ici à
la fin de l’année, tandis que Citi prévoit 3 000 dollars l’once d’ici à trois mois », note John Plassard.

(Avec AFP)

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