https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2025/05/21/250521-img-des-familles-de-harkis-deposent-plainte-pour-violation-de-sepulture-et-recel-de-cadavres-au-camp-de-rivesa.jpg
« On n’a plus le choix. Maintenant, si on veut avancer, on doit employer la méthode judiciaire », martèle Marie Gougache. Le lundi 19 mai, avec quatre autres personnes passées par le camp harki de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), elle a adressé une plainte collective au procureur de la République de Perpignan pour violation de sépulture, atteinte à l’intégrité et recel de cadavre.