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Alès (Gard).– « On a rouvert par principe… On ne va pas se laisser intimider par un coup de pression », sourit Elsa, militante communiste, rassérénée après le flot de soutiens qui a suivi l’agression de la veille. Autour d’elle, des visages un peu fatigués, quelques bleus, un T-shirt « Make fascists afraid again » sorti pour l’occasion, et une détermination à tout rompre pour que la fête reprenne le dessus.