Elles ne sont pas capables de croître assez rapidement pour intéresser les investisseurs en capital-risque. Elles ne sont pas assez grosses et profitables pour le private equity. Pourtant, ces start-up intermédiaires ont besoin de croître. C’est sur ce créneau oublié des investisseurs que se positionne le start-up studio Hexa, spécialisé jusqu’ici dans l’early stage, et qui a déjà fait émerger 45 entreprises dont Spendesk et Aircall.
À travers sa nouvelle activité, Hexa Scale, il va donc répliquer la même méthode, qui mêle capital financier et compétences humaines.
« Nous cherchons une typologie d’entreprises peu recherchée, qui officient dans le domaine de la tech et du software, et qui sont un peu sous les radars », explique Augustin Cellier, partenaire chez Hexa. « Ce sont souvent des entreprises assez saines, à l’équilibre, et presque toujours boostrapées (autofinancées). »