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« Le ménage à Sciences Po, c’est de l’esclavage », s’écrie Layla Mabrouk, haut-parleur à la main. La représentante CFDT du personnel d’entretien de la prestigieuse école parisienne galvanise, jeudi 6 mars, la centaine d’étudiant·es et agent·es présent·es dans l’entrée du campus flambant neuf Saint-Thomas-d’Aquin. L’ancien noviciat dominicain du VIIe arrondissement de Paris est devenu en 2022 le dernier vaisseau amiral de Sciences Po Paris, après un investissement de 188 millions d’euros.