“Le progrès technique n’aboutit pas à l’émancipation mais aux guerres les plus destructrices de l’histoire”

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Chercheuse en philosophie à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), Déborah V. Brosteaux publie « Les Désirs guerriers de la modernité » (Seuil), ouvrage dans lequel elle met au jour les affinités entre l’avènement de la modernité et de nouvelles formes de violence et de domination.

Chercheuse en philosophie à l’Université Libre de Bruxelles (ULB), membre du Centre de recherche sur l’Expérience de Guerre et chercheuse associée au Centre Marc Bloch à Berlin, Déborah V. Brosteaux fait paraître Les Désirs guerriers de la modernité (Seuil), essai dans lequel elle met au jour les affinités entre l’avènement de la modernité et de nouvelles formes de violence et de domination.

À LIRE AUSSI : Repenser la modernité : on a lu “L’Accélération de l’histoire” de Christophe Bouton

Qu’elle soit mise à distance dans les conflits coloniaux, recherchée par des soldats pour sa capacité à intensifier l’existence ou utilisée dans l’urbanisme moderne pour faire table rase du passé, cette violence ne peut être réduite à un dévoiement. Elle est au contraire consubstantielle du projet fondamentalement ambigu de la modernité.

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