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Dans son premier long-métrage, Mo Harawe met en scène un village somalien balayé par des vents ennemis et des personnages qui refusent de s’apitoyer sur leur sort. Aux antipodes des clichés misérabilistes, ce coup d’essai révèle un cinéaste, un vrai.
À un mois et des poussières du festival de Cannes (du 13 au 24 mai), les distributeurs vident leurs cartons et en extraient des films qui, parfois, ont été présentés… l’an passé sur la Croisette. Certains justifient les acclamations. En tête de liste : Le village aux portes du paradis, premier long-métrage de Mo Harawe, natif de Mogadiscio en Somalie, pays pour le moins discret sur la carte internationale du cinéma.