Les taxes douanières et les taux longs américains continuent d’être les principaux animateurs des marchés. Les États-Unis restent au centre de l’attention des investisseurs. Mais plus pour les mêmes raisons.
Certes, les actions américaines, notamment les principales valeurs de la tech, sont revenues peu ou prou à leur valorisation d’avant le « jour de la libération » du 2 avril dernier made in Trump.
Sur le mois, l’indice américain S & P 500 regagne ainsi près de 4 % alors que l’indice européen Stoxx600 affiche une performance, pour la première fois depuis le début de l’année, moindre, à 2,6 %. Les taux longs américains terminent le mois autour de 4,4 %, après avoir atteint les 4,6 %, sur une courbe des taux relativement plate (4 % pour le taux à 2 ans). Un taux à 10 ans à 4,75 % serait un signal d’alerte pour Wall Street.