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“On rejoue la saga des Rocky”: boosté par la sanction de Fonseca, l’OL se (re)met à croire au podium

mars 10, 2025
in @RMC SPORT, Sportive
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Nice-OL: Cherki et son “talent incroyable” ont une nouvelle fois fait la différence
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RMC - Sport

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Avec son succès face à Nice, le premier face à une équipe du top 3 en 2025 après les échecs face au PSG et l’OM, l’OL se remet à rêver au podium, plafond de verre jamais atteint cette saison, et à la Ligue des champions, l’objectif présidentiel de début de saison. A dix semaines de la fin du championnat, l’ambition est de mise alors que la suspension de Paulo Fonseca semble donner un supplément d’âme au groupe.

Les deux matchs de la semaine dessinent une constance, de Bucarest (1-3) en huitième de finale aller de Ligue Europa à Nice (0-2) pour le compte de la 25e journée de Ligue 1. Les Lyonnais, d’abord résistants, deviennent dans les temps forts piquants et chirurgicaux. De l’intérieur, on image: “Ces matchs, ce sont des combats de boxe. On encaisse, on encaisse, on encaisse et d’un coup, on renvoie les coups, qui sont gagnants”.

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C’est Nicolas Tagliafico en Roumanie au cœur de la tempête du premier acte, c’est Rayan Cherki à Nice sur le premier ballon touché à son entrée en jeu à la 77e minute. Comme un écho à cette année où le club fête les 130 ans du cinéma, inventé par les frères Lumière en 1895. “On rejoue la saga des Rocky”, s’amuse un proche du vestiaire.

Le soufflé d’une semaine parfaite en guise de résilience peut-il tenir jusqu’au 17 mai, soit dans dix semaines? A l’OL, on va en tout cas tout faire pour avec une organisation des dirigeants qui fait corps autour de Paulo Fonseca, le coach suspendu jusqu’au 30 novembre après son coup de sang contre l’arbitre de OL-Brest le 2 mars. Du directeur général Laurent Prud’homme au directeur technique Mathieu Louis Jean, en passant par le coordinateur sportif Daniel Congré, l’unité est de mise.

La vie sans Fonseca

Et le schéma de la vie “sans Fonseca” commence à se dessiner. Une causerie effectuée à l’hôtel au lieu du vestiaire, le parcours jusqu’au stade dans le bus avec une accolade à chaque joueur à leur descente, l’attente du coup d’envoi dans ce même bus dans les coursives du stade avant de rejoindre le seul endroit où il peut aller, la tribune de presse. Pour le technicien portugais, l’anticipation doit être décuplée dans l’avant match avec des plans de jeu prédéfinis suivant les scénarios et la tactique adverse, qui rappellent le football américain.

Jorge Maciel, son adjoint promu “chef” le temps du match, minimise aussi ce nouveau procédé. “Vous ne connaissez peut-être pas l’ambiance d’un vestiaire, mais chacun a ses rituels, expliquait-il dans la conférence d’après-match ce dimanche soir à Nice. Et la situation ne change pas grand-chose. Habituellement, la causerie du coach a lieu avant l’échauffement, là, on ne l’a pas faite. Le rôle des entraîneurs, c’est comme les parents: l’équipe doit être autonome même si on n’est pas là. On s’entraîne pour s’habituer à performer. De plus, les joueurs ont des centaines de matchs de L1”.

Le scénario de la semaine se déroule donc sans accroc pour l’OL qui a donc joué, Rocky I à Bucarest et Rocky II à Nice. Y aura-t-il d’autres épisodes du footballeur-boxeur, dans les cordes en coulisses et parfois dans les entames de match mais vainqueur au coup de sifflet final? Difficile à prédire évidemment, mais un “état d’esprit” apparaît, cette “notion de groupe”, comme le remarque un spectateur averti.

“Il y a des tapes dans les mains, des accolades sur les instants défensifs chauds. C’est ultra important ce côté ‘tous ensemble’. Souvent, un groupe est bien meilleur qu’une somme d’individualités”, poursuit le même observateur.

Et cette source d’expliquer comment Rayan Cherki a plutôt bien pris son rôle de remplaçant à l’énoncé de la composition d’équipe. “Et il est rentré plein d’allant, à l’image de cet instant où il ne fait pas la tronche, détaille-t-elle. C’est souvent très indicatif de l’état de solidarité des joueurs”.

“Seuls contre tous”

Une solidarité nouvelle qu’amènent peut-être les événements du moment. Qu’il s’agisse des réserves déposées par les clubs adverses sur la qualification de Thiago Almada, Nice imitant ce dimanche Toulouse, Reims, le PSG et Brest, mais aussi et surtout donc la longue suspension de Paulo Fonseca vécue comme une nouvelle démonstration “qu’on nous en veut”, résume un cadre.

Conséquence: dans le vestiaire se répand l’idée d’un “seuls contre tous” pour une mission commando. Avec en miroir, ce retour en arrière de douze mois quand il fallait tout faire pour sauver l’institution de la descente. “La trouille avait soudé les joueurs l’an passé. Cette année, c’est un sentiment de résistance et de rébellion qui lie tout le monde”, analyse-t-on au club.

“Vous voulez nous mettre la tête sous l’eau, nous allons nous en sortir coûte que coûte”, témoigne une autre source interne au vestiaire.

Même son de cloche du côté du patron John Textor qui le clame haut et fort sur Instagram: “Le foot est un jeu qui se joue sur le terrain”. Et qui se récompense dans une belle opération de communication interne avec l’annonce du triplement de la prime de victoire, d’après une information de L’Équipe. A la base de quelques centaines d’euros, la simple prime de succès sera même quadruplée en cas de qualification en Ligue des champions au soir de la 34e journée, et de façon rétroactive. 

Un podium atteignable

Mais il faudra pour cela encore grapiller des points et des places, puisque malgré le bon parcours de l’OL version Paulo Fonseca en Ligue 1 (quatre succès et deux défaites face à Paris et Marseille), le classement ne bouge pas: 6e à 4 points du 3e et 7 de l’OM au matin de son baptême au Vélodrome le 2 février, l’OL reste…6e à 4 points du 3e et 7 du dauphin phocéen six semaines plus tard. Seule l’identité du 3e a changé: Nice a remplacé Monaco.

Factuellement, avec la réception de Lille le 6 avril et un déplacement à Monaco le 10 mai qui ne possèdent que deux points de crédit (44 contre 42), les Lyonnais ont leur destin entre leurs crampons pour les dépasser: un succès face à chacune de ces deux équipes leur permettrait d’accrocher la 4e place, synonyme de qualification pour les barrages de la Ligue des champions, à condition bien sûr de prendre autant de points que leurs concurrents lors des autres matchs.

Et pourquoi pas mieux? Actuellement 3e, Nice n’a plus que quatre longueurs de marge avec des voyages à Monaco, Strasbourg, Paris et Rennes (contre des réceptions d’Auxerre, Angers, Reims, Brest et Nantes). Quant à l’OM, le retard reste conséquent (7 points pour 27 encore à distribuer) mais pas rédhibitoire à la lecture du calendrier des Marseillais, avec des déplacements à Paris, Monaco et Lille notamment. Mais pour doubler l’OGCN et l’OM, Lyon ne pourra compter que sur des faux pas de leur part.

Dans tous les cas, l’OL reste condamné à un parcours presque parfait dans son sprint final qui débutera sur une pelouse toute neuve, ce dimanche à 15h face au Havre avant les réceptions de Lille, Rennes, Lens et Angers, entrecoupées de voyages à Strasbourg, Auxerre, Saint-Étienne et Monaco. Jamais sur le podium cette saison, au mieux 5e, l’OL finirait sur les mêmes standards que l’an passé avec cette qualification en Coupe d’Europe à la 6e et dernière minute du temps additionnel du dernier match de Ligue 1 sur un pénalty face à Strasbourg. L’histoire se répètera-t-elle?

Edward Jay

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