C’est un festival dans le festival. Un rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur musical et une formidable vitrine pour artistes émergents. Lancé en 1985 par Daniel Colling et Maurice Frot, les pères fondateurs du Printemps de Bourges, le tremplin Les Inouïs (anciennement Les Découvertes) aura servi de rampe de lancement à plusieurs générations de musiciens et musiciennes à l’aube de leur carrière.
Citons La Mano Negra, Les Têtes Raides, Faudel, Juliette, Zebda Jeanne Cherhal, Christine and The Queens, Feu ! Chatterton, Gojira, Zaho de Sagazan… Liste non exhaustive. « Je n’ai pas loupé une seule édition en vingt ans, confirme Matthieu -Tessier, président de Warner Chappell Music France, l’une des trois majors de l’industrie musicale. C’est le seul festival qui dispose d’un maillage territorial aussi poussé et décentralisé avec ses antennes régionales pour favoriser l’émergence de jeunes talents. »