Clément Lenglet et Pierre Kalulu vont suivre la finale de la Ligue des champions ce samedi soir entre le PSG et l’Inter. Depuis Clairefontaine, les deux joueurs de l’équipe de France ont livré leurs impressions sur la rencontre.
Les joueurs de l’équipe de France ne vont pas manquer une miette de la finale de la Ligue des champions entre le PSG et l’Inter, ce samedi soir. Si les Bleus sont en comité restreint à Clairefontaine pour préparer le Final 4 de la Ligue des nations – à commencer par la demi-finale face à l’Espagne jeudi 5 juin – ils ont prévu de regarder le match ensemble. “Je n’ai pas de favori, mais je pense qu’on va la regarder ensemble. C’est un match important. On rêve tous d’être sur le terrain pour ce match. On a des potes qui seront des deux côtés. On a hâte de les voir jouer”, a confié Clément Lenglet ce samedi en conférence de presse.
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Kalulu voit une victoire de Paris
Appelé pour la première fois à l’occasion de ce rassemblement de juin, Pierre Kalulu a l’avantage de connaître le jeu de l’Inter, qu’il a affronté à plusieurs reprises avec la Juventus Turin. “C’est une équipe très forte, avec de grosses qualités. C’est une équipe réglée. Ce sera un bon match à voir, avec deux oppositions de styles. On ne peut pas sous-estimer une équipe qui arrive en finale de Ligue des champions. Ce serait une grosse erreur”, a prévenu le défenseur, qui voit une victoire du PSG “après prolongations”.
“Je ne peux pas parler au nom de tout le monde parce que je ne leur ai pas posé la question. Moi, au niveau personnel en Ligue des champions, j’ai toujours eu l’envie qu’ils passent. Supporter est un grand mot. Je n’ai pas été contre eux et je ne le serai pas ce soir. Je ne vais pas souhaiter que l’Inter gagne quand même”, a plaisanté Kalulu.
Ce samedi, Paris veut vivre une soirée magique et décrocher sa première étoile en Ligue des champions samedi, 32 ans après le seul triomphe d’un club français. En 1993, l’OM avait remporté la C1, déjà contre une équipe milanaise, l’AC Milan, et le football français connaît depuis une longue attente pour un successeur. Après de nombreuses déconvenues depuis le rachat du club par Qatar Sports Investments en 2011, le PSG a l’occasion d’enfin saisir son Graal.