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Au Sénégal, la loi d’interprétation de la loi d’amnistie des crimes et délits liés aux manifestations politiques entre 2021 et 2024 votée début avril par l’Assemblée nationale est jugée “contraire à la Constitution” par le Conseil constitutionnel. Cette décision ne garantit cependant pas l’impunité. Les crimes de meurtre, d’assassinats ou de tortures peuvent faire l’objet de poursuites. Correspondance à Dakar d’Elimane Ndao.