Twin Twin, Amandine Bourgeois, les Fatals Picards… Les 10 plus belles gamelles françaises au concours de l’Eurovision

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Twin Twin, Amandine Bourgeois, les Fatals Picards… Les 10 plus belles gamelles françaises au concours de l’Eurovision





















Louane y croit à fond… Faut-il rappeler que notre fière nation n’a plus gagné depuis 1977 et le sirupeux « L’oiseau et l’enfant » de Marie Myriam ?
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Samedi 17 mai au soir sur France 2, en direct de la Halle Saint-Jacques de Bâle, Louane tentera de faire triompher la France face à 25 pays remontés comme des coucous (suisses). Faut-il rappeler que notre fière nation n’a plus gagné depuis 1977 et le sirupeux « L’oiseau et l’enfant » de Marie Myriam ? Voici les dix artistes ayant ramassé les pires classements hexagonaux du concours. Faites-nous confiance, c’est du garanti « pure lose » : ils ont systématiquement terminé dans les quatre derniers.

10 – Amandine Bourgeois : « L’Enfer et moi » (2013)

Connue pour avoir remporté « La Nouvelle Star », la Charentaise ne grappille que 14 points et décroche une 23e place (sur 26) avec ce titre écrit par Boris Bergman, parolier d’Alain Bashung. L’enfer, c’est les autres ?

9 – Virginie Pouchain : « Il était temps » (2006)

Coiffeuse à Montélimar, elle finit à la 22e place sur 24 avec cinq points seulement. Elle avait promis de « mettre les bouchées doubles, histoire de faire mentir tous ceux qui (la) voient arriver dernière ». Là-dessus, elle avait raison : elle n’a pas fini dernière.

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8 – Lisa Angell : « N’oubliez pas » (2015)

8 – Quatre points et un piteux rang de 25e sur 27. Mais ce n’est pas le plus désolant dans cette histoire : alors ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius qualifiera la prestation de Lisa Angell de « ringarde ». L’hommage du vice à la vertu en quelque sorte.

7 – Dominique Walter : « Chez nous » (1966)

Sélectionné par un jury où figurait sa maman, Dominique Gruère (son vrai nom) est 16e sur 18. Il détient le record du plus petit nombre de points (1) pour un Français. Le piston, une tradition bien de chez nous.

6 – Les Fatals Picards : « L’Amour à la française » (2007)

« I remember jolie demoiselle, the last summer, nous, la tour Eiffel… ». Dix-neuf points et un pénible 23e rang (sur 24) pour les Picards. En 2009, la Warner leur interdira de chanter Le Jour de la mort de Johnny. Sage décision.

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5 – Alvan & Ahez : « Fulenn » (2022)

L’équation est simple : des Rennais qui chantent un morceau féministe en breton = une magnifique 24e place sur 25 et 17 points. On aura vraiment tout essayé pour gagner…

4 – Ortal : « Chacun pense à soi » (2005)

Dénoncer l’égoïsme ravageant le monde et regretter qu’« on oublie ce qui nous entoure, ceux qui nous donnent de l’amour » ? Une belle idée mais les votants n’ont pas pensé à Ortal, avant-dernière avec 11 points.

3 – Sofia Mestari : « On aura le ciel » (2000)

Cinq points et 23e sur 24 après avoir été choisie par un jury dont le président était… Patrick Fiori. Étonnez-vous après ça que le ciel lui soit tombé sur la tête.

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2 – Marie Line : « Où aller » (1998)

La Martiniquaise termine 24e sur 25 (3 points) en cette année 98 où l’artiste transgenre Dana International triomphe. Où aller ? Se cacher, peut-être ?

1 – Twin Twin : « Moustache » (2014)

Paroles navrantes, look ridicule, chorégraphie en bois, le groupe électro décroche la dernière place et deux misérables points. Une première pour la France, l’année où le travesti barbu Conchita Wurst triomphe. Barbe 1 – Moustache 0.


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